Lichtenrade Dans les années 60, sur la commune de Sarrazac comme un peu partout dans les campagnes de France, les chemins ruraux sont peu à peu tombés en désuétude pour des raisons évidentes : mécanisation de l’agriculture, développement des moyens de transport (la mobylette, la voiture) et exode rural.

http://marmolejo.org/?sryvparawi=busco-mujeres-solteras-en-cartagena&b37=48 La nature n’attendant pas d’autorisation pour reprendre ses droits, quantité de chemins se sont rapidement trouvés embroussaillés et nombreux furent les territoires qu’on ne pouvait plus traverser que par les axes routiers. De plus les communes ont bien souvent laissé faire et ont trouvé plus simple de céder les chemins communaux à des particuliers qui les ont fermés ou fait disparaître pour créer des parcelles plus grandes, plus aptes à une agriculture fortement mécanisée.

Heureusement, ce ne fût pas le cas à Sarrazac et la commune n’a revendu que très peu de chemins. Cela a permis a une équipe de bénévoles, lors de la prise de conscience de la nécessité d’une action envers les chemins et le patrimoine en général, vers 1990, de recréer le maillage des petits chemins pédestres et agricoles. Ce ne fût pas une mince affaire, d’autant qu’avait été adopté un parti-pris de qualité, (nombreux sont les murets ayant été remontés, par exemple)

Les actuels marcheurs et promeneurs qui parcourent les 35 Km de chemins de la commune peuvent avoir une pensée reconnaissante pour M. Arlie, M. Branche et M. Louradour.